Cet homme dans la vie ne goûte les délices
Que lorsqu’il assouvit sa passion dans des lices
Perverses et tordues où seuls comptent ces vices
Qui font souffrir les gens dans d’horribles sévices.
Bien des vies se tordent dans ses mains de novices
Qui dévissent nos cœurs et font surgir nos vices
Dont nos vies s’efforçaient de cacher la malice,
Ainsi ma lisse vie vit qu’elle était ma lice.
Car je suis devenu un de ceux qui ravissent
La beauté des ravis se prenant pour Narcisse
Le mal a pris mon cœur et bientôt l’avarice
L’a métamorphosé pour qu’il soit ma varice.